Ce qu'ils ont fait de nous : des likers, des lurkeurs, des haters, des followers, des partageurs, bref des personnes nouvelles, avec des habitudes et des comportements nouveaux. S'il est merveilleux, l'ethos du web 2.0 ne suscite pas moins d'inquiétude.
Ayant embrassé cet univers séduisant avec délectation et enthousiasme, nous découvrons peu à peu que l'impact de ses instruments sur nous et sur nos sociétés n'est pas toujours positif. Ce que nous devons en faire : des outils à notre service, qui nous servent sans nous aliéner. Grâce à eux, nous communiquons plus facilement et plus efficacement. Ils ont donné de l'écho aux promesses de liberté d'expression et de démocratie.
Ils nous offrent des cadres d'apprentissage, de divertissement, mais aussi de promotion économique et de développement personnel. Cet ouvrage est un plaidoyer pour une appropriation des réseaux sociaux dans les sociétés africaines, au-delà de la simple alphabétisation numérique. Lequel plaidoyer se fonde sur le postulat selon lequel ce que nous devons faire des réseaux sociaux est plus important que ce qu'ils ont fait de nous. C'est le fruit de la rencontre de plusieurs sensibilités africaines partageant une vision commune : une Afrique qui adopte et adapte l'innovation à sa guise. L'ouvrage a été coordonné par Maurice Simo Djom, chercheur en géoéconomie, auteur de La guerre économique et fondateur du think tank 1 Puissance 55 dont le but est de produire la réflexion susceptible de nourrir l'action tant sur la scène .locale africaine que sur les échiquiers non militaires de la mondialisation.
Lois sur les établissements et entreprises publics au Cameroun |
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La décentralisation et les objectifs de développement durable au Cameroun |
Auteur
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